De la racine " ei / i ", aller et de son radical " it- ou -ir " nous sont parvenus une foultitude de mots . Procédons par ordre .
Au commencement, in-it-ialement n'était pas l'intro-ït ( chant exécuté pendant l'entrée du prêtre avant la messe ) mais le co-ït . Je ne ferai pas de dessin . Puis l'it-inér-aire de la vie qui nous mêne à l'ob-it ( c'est le nom du service religieux célébré au bénéfice de l'âme d'un défunt . Si nous n'en voulons pas c'est quand même " ex-it " , la sortie comme disent les Anglais ) . N'est-ce pas en effet notre lot que de sub-ir, de trans-ir et trans-it-er avant de pér-ir ? Quel circu-it !
Entre temps et sans trans-it-ion, certains auront couru après la gloire et la richesse , ils auront courtisé, tourné " autour " des puissants de ce monde, ils auront cédé à des amb-it-ions plus ou moins nobles .
Encore un mot à caser : le prétér-it, mais c'est du passé comme disent les Anglais et les Allemands .